dimanche 6 mars 2011

Stupeur et Tremblements (film)

Une fille occidentale, Amélie,  est venu dans une grande entreprise, Yumimoto. Là, ses collègues sont là avec un passé très difficile. Donc Amélie méritait une telle difficulté comme eux. La jeune fille non japonaise a insisté. Ses supérieurs ont dit
  • Saito :"C'est une question d'obéissance".
  • Fubuki : "On n'y peut rien"
  • Omochi : "Taisez-vous!"
La trahison de Fubuki
Amélie a dit "Sans discussion, il n'y a pas de solution.
C'est vrai. Elle avait entièrement raison. Mais dans ce pays, c'est inutile. Bien sûr, Tenshi le savait très bien. Mais enfin, comme il a dit, c'est seulement aggraver la situation.

Et donc, la situation est devenue de pire en pire. Amélie a insisté a dit "Honne"
Fubuki aussi a dit "Honne". Amélie a tout compris de quoi Fubuki avait besoin. Et Fubuki a joué son atout comme d'autres: "Je suis votre supérieur".

Le lendemain, Fubuki a amené Amélie en enfer où elle avait été autrefois, pour lui faire comprendre "de quoi on a besoin".
Amélie a commencé à travailler de nuit. A la fin, elle est devenue folle pour représenter la folie de la société japonaise. Puis, elle a eu froid. Ce froid soudain était comme la tempête de neige: Fubuki.
Mais ce n'était qu'un mauvais présage. C'était trop tard, l'arrivée de Tenshi. A la fin, il a dit "Bon courage". Il savait qu'Amélie n'avait pas tort, mais il ne pouvait rien faire, sauf de dire ce mot.

La vie en prison a commencé. Quel crime?: la passion du travail, un manque de discrétisation, de Tatemae, de difficulté....etc
7 mois plus tard, elle a avoué son crime qui était pourtant faux. Mais elle a bien compris qu'elle n'a pas mérité une telle vie dans une société japonaise.

Monsieur Saito a dit "Je suis désolé"  Comme Fubuki et Tenshi l'ont défendu au début, il n'était pas imbécile comme elle pensait.
Il était aussi un prisonnier dans une société japonaise.

Monsieur Omochi était alors, le directeur de prison. Mais malheureusement au Japon, c'est lui qui est le vainqueur.

Monsieur Haneda, qu'Amélie trouvait le Dieu, n'était pas vraiment le Dieu.
Parce que c'était lui qui devait régler le problème. Mais il n'a rien fait.
A cause de lui, un prisonnière belge, jeune, enfin innocente avait dû accepter son crime inexact.

Monsieur Tenshi, était aussi Dieu, mais il n'avait aucun pouvoir devant le diable.
C'était un Dieu inutile. Au Japon, il y a plein de Dieux inutiles comme Tenshi. Mais malheureusement, il y a aussi pas mal de diables comme Monsieur Omochi. Bien sûr, devant eux, il faut employer "Tatemae" et "Keigo".
--------------------------------------------------------------------------------------

Sur ce film, il y a tellement de critiques parmi les Japonais. Pas mal de gens attaquent sur le japonais de Sylvie Testud. Je ne comprends pas. Car c'est en VF que j'ai vu. C'est bon, ça n'a aucune importance. Enfin ce que je viens d'écrire, c'est ce que j'ai pensé en visionnant ce film.

Ce film ne s'est pas passé au Japon. Je comprends bien. C'est possible de le trouver anti-japonais, même si Amélie Nothomb ne l'espère pas. Quant à moi, j'ai éclaté de rire. Les exagérations mêmes sont compréhensibles. J'apprécie bien les portraits dans ce film. On représente bien les cas typiques avec un peu d'emphases. Ce n'est pas un documentaire. Donc je trouve que ce n'est pas un curieux film. Mais sans connaissance et compréhension sur les Japonais, ce film est moins précieux, je crois. Enfin on peut le dire sur n'importe quoi.....Je pense que Amélie Nothomb voulait que les Japonais regardaient ce film. Je me trempe? Pour les étrangers, malheureusement ce film devient une chose bizarre, n'est-ce pas?

Pour un film "Furyo", je ne le connaissais pas. J'ai lu Wiki comme d'habitude....j'avais entendu le nom en Japonais. C'est un film en 1983. Cette année, il y a encore un bon film qui s'appelle "La Ballade de Narayama", qui a obtenu la Palme d'Or en 1983. Je en connais l'histoire. Franchement ces 2 films ne m'intéressent rien du tout. Ça sera certainement dépriment. Quand je vois quelqu'un qui me conseille de le regarder, je le regarderai.